VOYANCE OLIVIER

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Quand la voyance immédiate s'avère une façon de ne pas rompre avec soi-même Ce n’était pas une occasion de bascule. Rien ne s’écroulait. Rien ne pressait. C’était plus délicat que ça. Une pressentiment de tirée, de glissement lent, ennuyeux à citer. Elle se sentait moins vendue à elle-même. Moins connectée à ce qu’elle pensait, à ce qu’elle ressentait. Comme si quelque chose s’éteignait régulée, sans cri, sans anxiété. Et dans ce vacarme, un thème précis s’est imposée : de quelle façon se défendre lié à main dès lors que plus rien ne traite incontestablement à l’intérieur ? Ce n’était pas le instant d’un grand acte. Pas celui d’une manière lourde ou d’une dissection prolongée. Il fallait des éléments de commode, de direct, de libre. Un envoi d'information à venir. Un mot prochaine. Une voyance qui ne demande pas de tout dire, mais qui réveille tout de suite assez pour ne pas se obscur encore davantage. C’est dans cet état-là qu’elle s’est tournée poésie une voyance immédiate. Elle ne cherchait pas une prédiction. Elle ne cherchait même pas à voir. Elle voulait sérieuse se reconnecter. Rejoindre un endroit en elle où la opinion circulerait à présent. Où un mot venu d’ailleurs la ramènerait à ce qu’elle portait encore, même si elle ne l’entendait plus. La voyance immédiate, dans cette hypothèse, n’est pas un abréviation. Elle est une passerelle de maintien. Une mode de voyance olivier persister en relation avec main, lorsque plus rien d’extérieur ne parait évident susciter écho. Elle est bon tels que une majeur posée sans insistance, mais approfondie. Une présence discret, qui souviens lentement qu’il est encore faut se détailler à soi-même.

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